Cote D'ivoire, Mon Pays Va Mal

"Côte d'Ivoire, mon Pays va mal" est un plaidoyer s'adressant à tous les militants des droits de l'homme du monde entier en faveur d'une action collective concertée et urgente pour stopper le Suzerain Alassane Ouatara qui a choisi de règner en exterminant les peuples de forêts de Côte d'Ivoire, dans le cadre d'un génocide planifié au palais d'Abidjan et mis en exécution sur le terrain par son armée et ses supplétifs dozos. Cette œuvre de recherche de faits, incluant des reportages de journalistes et autres contributions d'intellectuels et de ONG, se veut être le porte-voix de toutes ces personnes humiliées, bafouées, violées, dépossédées par les milices de fanatiques, pro-Ouattara. Ces victimes sans-voix de la dictature Ouattarienne, blessées dans leur 'me et vivant désormais, cloîtrées quelque part en Côte d'Ivoire ou en exil dans le silence de la douleur dévastatrice qui ronge à petit feu. Cette œuvre est aussi produite en soutien à tous ces infortunés privés de leurs avoirs bancaires et dépossédés de leur patrimoine immobilier sans aucune décision judiciaire. Et ils sont des milliers ! En outre, à tous ces jeunes torturés par électrocution ou marqués au fer forgé et déportés qui croupissent dans les camps de concentration de Alassane Ouattara à Abidjan et dans le nord du pays dans le silence complaisant de la communauté Internationale, cette œuvre veut faire droit. Aussi, cette œuvre est-elle dédiée à la mémoire de tous ses morts pour délit d'appartenance ethnique dans l'ouest de la Côte d'Ivoire, à Monokozohi, à Guitrozon et plus récemment encore à Nahibly. A toutes ces personnes exécutées par balles ou à l'arme blanche ou brûlées vives par les milices de Ouattara et jetées dans des fosses communes, 18 mois après la crise post-électorale, dans l'indifférence et la complicité passive des troupes de l'ONUCI telles celles stationnées à l'orée du camp de réfugiés de Nahibly le 20 juillet 2012. Cette œuvre a surtout été rendue possible gr'ce à tous ces reporters d'images anonymes qui m'ont transmis discrètement des photographies hallucinantes publiées dans cet ouvrage et à ces journalistes vertueux qui dénoncent les méfaits de la dictature Ouattarienne aux risques et périls de leur vie, malgré les suspensions de parution quasi hebdomadaire de leurs organes de presse par un conseil national de presse totalement aux ordres. Enfin, cette œuvre se veut être la voix de tous ces citoyens ivoiriens qui continuent de souffrir le martyr pour avoir commis le crime de servir l'administration centrale sous la Présidence de Laurent Gbagbo que le Conseil Constitutionnel de Côte d'Ivoire avait pourtant proclamé, Président de la République à l'issue des élections de novembre 2010. "Côte d'Ivoire, mon Pays va mal" est édité en langue française et en langue anglaise pour une meilleure divulgation de l'information.